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Neurosciences de l'Education

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mardi 26 février 2013

Les Dys- Définitions

Les enfants dys- sont des enfants intelligents qui souffrent de ne pouvoir le montrer. On les fait douter de leur capacité à bien utiliser leur cerveau, on leur demande de prouver leurs compétences avec circonspection, et on salue rarement leurs efforts. Leur manière d’apprendre est différente mais leur volonté d’apprendre est identique. Et comme ils ont l'habitude de surmonter des difficultés, ils sont la tortue qui avance tranquillement vers le succès quand les lièvres roupillent. On les retrouve régulièrement dans les entreprise : combatifs, accrocheurs, résistants! On peut compter sur eux pour motiver les troupes, on peut en faire des leaders avec leurs imperfections. Et triompher les rend heureux.

Quelles ont été leurs difficultés?

Dys-lexie

Difficulté de lecture : repérage, association, vitesse, compréhension. Professionnel pour dépister : Enseignant, Médecin généraliste, orthophoniste (pour ré-éduquer, accompagner, aider).

Lire le livre de Stanislas Dehaene : Apprendre à lire - Des sciences cognitives à la salle de classe (assez court et clair, écrit à destination des enseignants) Les Neurones de la lecture, Stanislas Dehaene.

Quand faut-il s'inquiéter? Dépistage après le CE1 : - mauvaise lecture et/ou lecture lente et saccadée de mots isolés - lecture orale très laborieuse et saccadée et ignore souvent la ponctuation - devient visiblement fatigué après une courte période de lecture - compréhension de la lecture difficile (habituellement, la compréhension est excellente lorsqu'on lui lit le texte) - change un mot pour un autre qui lui ressemble visuellement (ex : épate pour étape, cage pour gage) - à la lecture d’une histoire, sans changer le sens du texte, change le mot pour un autre qui veut dire la même chose mais qui ne lui ressemble pas du côté visuel - fait une mauvaise lecture, change, ajoute ou ignore les mots de relation ( le, la, un, une, dans, de, des, son, ses …) - omet ou change les suffixes (ex : change pour changement, lent pour lentement) - inverse, renverse et transpose souvent les lettres

Une simple inversion de lettres en Moyenne ou Grande Section peut être transitoire, c'est un grand classique : une phase d'apprentissage, il ne faut pas s'inquiéter trop tôt. Plus d'informations : http://pages.infinit.net/ortho/dyslexie.htm

Dys-praxie

La dyspraxie est un handicap d’origine biologique qui affecte certains gestes de la vie quotidienne. C'est est un trouble de l'acquisition de la coordination du geste, souvent associé à un trouble du regard ou de la construction de l'espace, parfois à un trouble bucco-facial (des problèmes de déglutition ou de langage). On le repère par une maladresse excessive, des difficultés de préhension du stylo, des difficultés pour sauter à la corde, faire du vélo, ou encore s'engager dans une activité physique et sportive qui requiert de la coordination. Il est particulièrement difficile aux enfants dyspraxique d'apprendre à lire l'heure avec des aiguilles, notamment. Pour en savoir plus, lire le site de l'association corydis : http://www.coridys.asso.fr/pages/base_doc/dyspraxieconte.pdf Professionnels : Médecin généraliste, neuropsychiatre, ergothérapeute et orthophoniste.

Dys-phasie

La dysphasie est un trouble de l'apprentissage du langage dont on distingue les dysphasies de réception et d'expression. La dysphasie d'expression appelée également retard de langage, se caractérise avant tout par des troubles de l'expression orale. La compréhension quant à elle ou/et le déchiffrage (plus précisément le décodage) sont normaux. La dysphasie de réception correspond à une incapacité de s'exprimer oralement et d'acquérir une compréhension quelle qu'elle soit. Dans ce cas, le patient présente d'autres déficits touchant les organes de la perception, les organes sensoriels. Les fonctions mnésiques (en rapport avec la mémoire) et celles de la cognition (acte permettant d'acquérir une connaissance) sont également perturbées. Lire : le site de l'association Professionnels : neuropsychologue, orthophoniste, psychomotricien

Dys-orthographie

La dysorthographie est un trouble spécifique d’acquisition et de maîtrise de l’orthographe, caractérisé par des inversions de lettres ou de syllabes, par des confusions auditives ou visuelles, par des omissions, par des erreurs de segmentation, …" Dépistage : Les additions, omissions, confusions et inversions observées en lecture se retrouvent également en orthographe. On ajoutera cependant: o Fusion de mots: lenfanva au lieu de l'enfant va o Découpage incorrect: il et coute au lieu de il écoute o Même à la copie, l'orthographe de ces enfants est émaillée d'erreurs o L'enfant dysorthographique écrit souvent mal et difficilement (? dysgraphie) Professionnels : médecin généraliste, neuropsychiatre, orthophoniste Ecrit avec l'aide de l'article d'Isabelle Barry. paru sur le site de l'association Coridys.

Dys-calculie

La dyscalculie est un trouble en mathématiques dû à un dysfonctionnement dans le domaine de la logique, de la construction des nombres et des opérations sur les nombres.

Dépistage Refus de participer Echec lors des activités pré-mathématiques des données spatiales ou temporelles Non acquisition des tables Difficultés à résoudre des problèmes Difficultés à gérer l’argent Difficultés à gérer un emploi du temps... Rééducation Séances de logopédie Éventuellement séances de psychomotricité Éventuellement psychologue Apprendre sous forme de chanson, par la musique, jouer aux cartes… Lire La Bosse des Maths de Stanislas Dehaene, Odile Jacob. pour comprendre "le cerveau mathématique". Lire le blog unicog.org

Les blogs cités en référence m'ont aidé largement à écrire cet article.

jeudi 17 janvier 2013

Le cerveau est fait pour apprendre

Alors ne me dites JAMAIS qu'un enfant ne peut pas, qu'il a toujours été nul ou que c'est "dans la famille". Personne ne nait feignant. Notre développement rencontre des difficultés, oui. Parfois, c'est trop dur, on n'y arrive pas. D'accord. Ne pas réussir à surmonter une épreuve érige un mur de protection dans la tête de l'individu sur lequel est écrit : "j'suis feignant, j'y peux rien". C'est un leurre. C'est un frein à l'intelligence.

Quel outil face à cette difficulté d'adaptation?

Se poser des questions en remontant à la source de la rupture :

  1. analyser les composantes du problème et
  2. déterminer quelle donnée n'a pas de sens.
  3. Formuler la question, et
  4. chercher la réponse.
  5. Attendre...Et notre cerveau trouve.

Ca marche pour comprendre, apprendre, décider, surmonter des difficultés émotionnelles et gérer le stress! 3 semaines d'exposition à un stress non géré suffisent pour entamer une dépression : fatigue, troubles du sommeil, déréglement du poids... Quand le cerveau déprime, des neurones s'éteignent définitivement. Dès que le cerveau est émerveillé, de nouveaux neurones naissent, et ceci à tout âge!

mercredi 16 janvier 2013

Les difficultés d'apprentissage

Pourquoi l’élève rencontre-t-il des difficultés ?

Nous avons tous 9 intelligences . Autrement dit, nos neurones s’organisent pour transmettre et traiter les informations (comprendre, apprendre, faire, mémoriser, ressentir…). S’ensuivent d’infinies possibilités pour comprendre et apprendre car nous combinons 9 manières de traiter l’information pour surmonter des difficultés (99 conceptions possibles d’une même notion). Ce développement fait de nous des individus singuliers car ce fonctionnement nous est propre, même lorsque nous sommes atteint d’un handicap mental.

En France, à l’école, on reconnait principalement et majoritairement 2 de nos 9 intelligences : l’intelligence linguistique et l’intelligence logico-mathématique. Pourtant, au sein des apprentissages dispensés à l’école, toutes nos intelligences sont représentées.

Notre cerveau, lui, peut comprendre et s’exprimer de 7 autres manières différentes :

  • par le corps (l’intelligence kinesthésique) nous apprenons en mimant et en ressentant
  • en image et par l’espace (l’intelligence visuelle et spatiale) – nous visualisons des informations, et mémorisons en images
  • par la musique (l’intelligence musicale) – cette intelligence couvre aussi le champ des rythmes scolaire et biologique. Il y a des heures plus favorables pour apprendre que d’autres. Et cela concerne aussi le niveau sonore de l’environnement de l’élève
  • par notre environnement naturel et notre rapport à la nature, (l’intelligence naturaliste) on apprend bien aussi en dehors de l’école, par l’expérience, en menant des projets et en expérimentant, mais aussi en comprenant les systèmes qui nous entourent
  • par notre besoin de comprendre pourquoi, à quoi ça sert dans la vie, (l’intelligence existentialiste). Si nos questions fondamentales nous accablent d’interrogations paralysantes, elles nous empêchent de nous encrer dans le présent
  • par soi-même – on apprend aussi du monde en se connaissant bien soi-même, en développant sa propre curiosité (l’intelligence intra-personnelle)
  • par les autres – qui nous éveillent, nous renseignent … (l’intelligence interpersonnelle) Car l’autre est comme un neurone, il nous met en connexion.

A quoi bon savoir cela ?

Chaque intelligence développée nous donne des qualités. En passant uniquement par l’une de nos intelligences pour comprendre au détriment des autres modes de réflexion, nous ne développons pas tout notre potentiel et créons nos propres difficultés. Pour certains enfants, apprendre à faire une division n’est possible que si l’on passe par des mots, on doit tout leur expliquer, d’autres enfants comprendront la division des parts de pizza ou d’un paquet de bonbon à parts égales et quelques uns comprendront d’instinct, en passant simplement par l’observation. La division étant posée au tableau, leur cerveau opèrera d’instinct pour établir des relations entre les nombres, en décomposant les chiffres, en multipliant, en ajoutant...

Ces 9 intelligences, nous les possédons toutes et notre cerveau ne cesse de les associer pour se développer. Les traits de notre personnalité viennent de ces intelligences, nos qualités comme nos défauts, mais aussi nos angoisses et nos grands bonheurs.

Les méthodes de travail

Il est capital de développer harmonieusement nos 9 intelligences pour être bien dans sa vie. Pour comprendre et apprendre, nous développons des stratégies. Certains modes d’apprentissage sont efficaces dans certaines situations, d’autres moins. Il est plus difficile de passer par la visualisation pour apprendre une longue poésie, par exemple, tandis que la musicalité et le mime sont des stratégies qui font gagner du temps. Il faut développer la bonne tactique face à chaque problème, la bonne stratégie face à chaque apprentissage. C’est notre cerveau qui nous le permet.

Les conditions de travail des enfants

Pour apprendre et se mettre à faire ses devoirs, l’enfant doit donc être en condition : Il doit avoir suffisamment dormi, il doit avoir mangé quelque chose de sucré (fruit, chocolat, pain, etc.).Son esprit doit être libre de frustration et de contrariété, mais aussi des émotions envahissantes. N’oublions pas l’état psychique dans lequel l’école met l’enfant : l’angoisse de ne pas savoir, de ne pas y arriver. Pourquoi rêve-t-on qu’on oublie son cartable, son slip ou qu’on arrive là tout nu ? Ces rêves fréquents en situation d’apprentissage (même chez les enseignants) nous révèlent notre dénuement face à tout ce que nous ne savons pas.

L’enfant qui fait ses devoirs doit avoir compris ce qui lui est demandé, ce que l’on attend de lui. Il a donc dû surmonter cette difficulté de compréhension, faire l’effort de l’humilité et mobiliser son attention. Cette démarche à elle seule est absolument admirable. Il serait juste de le saluer de temps à autres. Sécurisé, il sera plus efficace dans son travail si le regard qui est posé sur lui est un regard confiant et ambitieux.

C’est toute cette démarche qui va vous sortir de la situation où l’enfant met une heure à s’y mettre, s’énerve avant d’avoir commencé, joue au lieu de travailler, balance ses affaires et pleure qu’il déteste l’école, apprendre et vous aussi par la même occasion : écoute et sécurité, encouragement, admiration et ambition lui apporteront votre reconnaissance. Son cerveau en a besoin pour continuer à se développer.

Comment aider l’enfant à apprendre ? Lorsqu’on aide un élève à faire ses devoirs, s’il rencontre des difficultés, il faut lui fournir une méthode de travail quand l’enfant n’a pas développé sa propre stratégie : répéter tout haut, écrire ou ré-écrire la leçon, faire une liste ou enregistrer sa voix sont déjà 4 stratégies possibles pour apprendre du vocabulaire. L’accompagnant peut aussi limiter les devoirs dans le temps, il peut demander à l’enfant comment il va organiser ses tâches et l’aider à décider dans quel ordre les effectuer. Attention à ne pas imposer des stratégies qui ne conviennent pas à son mode de fonctionnement.

Lorsqu’il rencontre une difficulté dans l’exécution de ses devoirs, c’est à ce moment-là qu’il faut l’encourager et surtout ne pas faire à sa place.

L’accompagnant veillera à proposer ou à ménager des pauses entre deux mémorisations. Le cerveau a absolument besoin de relâchement pour pouvoir passer à une autre phase de concentration intense. Ainsi après la poésie, on peut faire son dessin, ranger son cartable ou sortir ses affaires de sport pour le lendemain avant de se mettre sur le tableau à double entrées du cahier suivant.

Il est ensuite nécessaire que l’enfant ait compris les notions à apprendre et les critères d’évaluation de la justesse d’un exercice, ainsi que les modes opératoires pour réaliser les tâches demandées. Cela doit être fait dans le cadre de la classe. L’enfant ne doit pas désinvestir l’école au profit de celui qui l’aide à la maison en pensant qu’on lui expliquera ce soir. C’est à lui d’être attentif, il doit pouvoir rester maître de son développement et de son temps. En effet, mieux travaille à l’école, plus on peut se détendre à la maison. Ses cahiers doivent être propres et clairs. Ses livres et ses fournitures aussi. Un des grands rôles du parent est d’exiger la bonne tenue et le respect de ses affaires, surtout si ce n’est pas lui qui accompagne les devoirs.

Qu’attend l’enfant de vous ?

L’autre point majeur de l’accompagnement parental couvre le regard porté sur l’enfant. Porter sur l’enfant un regard ambitieux et fier, c’est lui donner le cap de la réussite. Porter sur lui des paroles empruntes d’enfermement « toujours » et « jamais » ou « de toutes façons dans la famille », c’est le condamner à la restriction de son développement. Il attend de l'Amour dans votre regard et l'assurance absolue que quelle que soit sa difficulté, il ne peut pas vous décevoir car votre Amour ne dépend pas de ses notes ou de sa réussite. Souvent, vous allez devoir croire en lui alors que lui se désespère. Alors vous serez le bon parent pour lui.

Stéphanie CRESCENT Résumé de la conférence sur l'Aide aux Devoirs.

Les Neuro-mythes

CERVEAU DROIT / CERVEAU GAUCHE...

On a beaucoup entendu dire que certaines personnes réagissaient de manière plus instinctives que d’autres qui sont réfléchies, ou encore que certains garçons ne pouvaient pas résister à leurs pulsions sexuelles car ils en étaient débordé –ceci étant inhérent au fait d’être un garçon. Une théorie a longtemps affirmé que l’humanité pouvait être divisée en 2 catégories de personnes : les « cerveaux droits » et « les cerveaux gauches ».

Un rapport très sérieux de l’OCDE synthétise ainsi les recherches en la matière : « Les scientifiques pensent que les hémisphères cérébraux ne travaillent pas isolément mais ensemble pour toutes les tâches cognitives même s’il existe des asymétries fonctionnelles. A la lumière de ces notions, l’utilisation des concepts de « cerveau gauche » et « cerveau droit » est abusive. »

On sait aujourd’hui que cette théorie est obsolète et simpliste au regard du fonctionnement du cerveau, car les neurones qui s’agrègent ou s’organisent par strates horizontales et verticales selon leur localisation, sauf au niveau de l’amygdale où les neurones sont amalgamés et non organisés en strates- ne sont pas dédiés à une tâche et localisés dans une fonction : le neurone visuel dans la zone des gestes servirait à voir les gestes…

Les deux lobes du cerveau travaillent en binôme à la moindre activité : lire, sauter, répondre, chanter… Dans les années 70, les adeptes de la PNL : Programmation Neuro-Linguistique agissant en coachs, retenaient pour analyser le fonctionnement du cerveau que le cerveau droit faisait de vous une personne émotive, imaginative, créative et communicative, alors que la domination du cerveau gauche vous apportait stabilité, rationalité, logique et organisation. Cette école de pensée a envahi les cabinets de psychologues, les parents voulaient tous avoir un enfant qui utiliserait son cerveau droit, car ces enfants étaient dits « neuro-droitier », ou HPI : dotés d’un Haut Potentiel Intellectuel.

Ces découvertes datent de 1969. Elles sont devenues ce qui s’appelle un neuro-mythe : une hypothèse scientifique invalidée par les dernières découvertes. Cependant, cette idée a fait évoluer les pratiques pédagogiques et nous en conservons un acquis fondamental pour la pédagogie moderne: on propose aujourd’hui pour comprendre et mémoriser plusieurs manières d’acquérir une connaissance : on observe, on explique, on expérimente, on illustre, on copie, etc…

Depuis 1990, Stanislas Dehaene, chercheur français*, a prouvé que dans le processus de lecture et de reconnaissance des chiffres, les deux hémisphères sont activés et travaillent conjointement. Il invalide donc la théorie selon laquelle un cerveau domine l’autre. Il prouve la synergie des deux hémisphères et fait avancer les connaissances.

Cependant, l’idée qui a présidé au développement des méthodes pédagogiques qui préconisent de stimuler le cerveau grâce à plusieurs moyens, est toujours aussi efficace pédagogiquement, puisqu’en proposant plusieurs mises en œuvre, on utilise plusieurs neurones agissant ensemble dans plusieurs zones du cerveau. La sollicitation multiple donne de vrais résultats.

Voyez un commentaire trouvé sur : http://www.franceinter.fr/emission-le-grand-entretien-stanislas-dehaene

mercredi 22 février 2012 à 23:20 Merci M. Dehaene! J'ai eu une classe de CP pendant 5 ans et je travaillais comme vous l'avez expliqué (de manière systématique, en liant la lecture et l'écriture, en recherchant le ludique tant en maths qu'en français) et cela fonctionnait surtout pour mes élèves en difficulté.

  • Stanislas Dehaene, La Bosse des Maths, Odile Jacob.

Stanislas Dehaene, Les neurones de la lecture, Odile Jacob.

Extrait de Tous Intelligents, Stéphanie CRESCENT, A paraître aux éditions Odile Jacob.

samedi 11 février 2012

Formations

FORMATIONS

en partenariat avec l'AFAREC ile de France, AFAREC IDF

Association pour la Formation, l'Animation et la Recherche dans l'Enseignement Catholique en Île-de-France.

  1. Les enfants en difficulté d’apprentissage et la gestion mentale
  2. Pédagogie différenciée grâce aux apports de la gestion mentale
  3. Attention, concentration et méthodologie, un langage commun

de 2 à 6 demi-journées.

Objectifs de formation:

  • Uniformiser un regard porteur d'encouragement
  • Mieux connaître ses propres modes de fonctionnement
  • Mieux définir les difficultés d'apprentissage et
  • Découvrir les outils pour remédier aux difficultés d'apprentissage
  • Consolider la cohésion d'équipe

Contenu des formations :

  • Test Intelligences Multiples individuel
  • Définition des IM, de la gestion mentale et de certains neuro-mythes
  • Workshops : cas d'école pour apprendre à définir les difficultés d'apprentissage
  • Activités : élaborer ensemble un protocole de cours qui s'adresse à toutes les intelligences de la classe

stefcrescent@free.fr